Je m'appelle Luci Besançon et je suis illustratrice et auteure de bande dessinée depuis la fin de mes études il y a deux ans. Avec un DNA puis un master de philosophie des pratiques en poche, j’ai installé mon atelier dans un petit village près de Rioz en 2022. Les beaux-arts pour mon amour des arts visuels et la philosophie pour le besoin d’acquérir les mots, si difficiles à trouver lorsqu’on veut nommer sa pratique.
Je les cherche encore et, je pense, les chercherai toujours. Car c’est bien cela pour moi être illustratrice : transcrire par le dessin ces mots qu’on ne dit pas, qu’on n’a pas besoin de dire, qui parlent d’eux-mêmes, le langage des émotions.
Je me plais à dire que je suis auteure de bande dessinée sans vraiment m’être essayée à l’exercice : je ne raconte pas d’histoires. Alors, celles-ci ne peuvent que s’appréhender diffusément à travers des personnages, que je représente dans un instant intime, comme entre les scènes. De la bande dessinée, je ne partage que ces portraits et je garde pour moi jalousement l’intrigue.
Ces personnages sont des humains ayant dépassés leur condition, ainsi les règles du monde ne s’appliquent pas à eux. Ils se retrouvent hors de la contemporanéité des besoins et des codes, dans une rêverie, un flottement poétique qui confine à l’intemporel. En cela, ils peuvent renvoyer à des classiques de la culture pop, notamment aux vampires d’Anne Rice, rockstars dramatiques ou créatures accablées par le poids de leurs actions.
L’ensemble de mon travail s’inspire de mythes antiques (l’androgyne, Ganymède, …) et d’histoire de vampires (vous l’avez compris), d’icônes queer d’hier et d’aujourd’hui, du cinéma et de la mode comme moyen de présenter les corps.
Contact
Maizières (70), France
contact@labrume.art
Je m'appelle Luci Besançon et je suis illustratrice et auteure de bande dessinée depuis la fin de mes études il y a deux ans. Avec un DNA puis un master de philosophie des pratiques en poche, j’ai installé mon atelier dans un petit village près de Rioz en 2022. Les beaux-arts pour mon amour des arts visuels et la philosophie pour le besoin d’acquérir les mots, si difficiles à trouver lorsqu’on veut nommer sa pratique.
Je les cherche encore et, je pense, les chercherai toujours. Car c’est bien cela pour moi être illustratrice : transcrire par le dessin ces mots qu’on ne dit pas, qu’on n’a pas besoin de dire, qui parlent d’eux-mêmes, le langage des émotions.
Je me plais à dire que je suis auteure de bande dessinée sans vraiment m’être essayée à l’exercice : je ne raconte pas d’histoires. Alors, celles-ci ne peuvent que s’appréhender diffusément à travers des personnages, que je représente dans un instant intime, comme entre les scènes. De la bande dessinée, je ne partage que ces portraits et je garde pour moi jalousement l’intrigue.
Ces personnages sont des humains ayant dépassés leur condition, ainsi les règles du monde ne s’appliquent pas à eux. Ils se retrouvent hors de la contemporanéité des besoins et des codes, dans une rêverie, un flottement poétique qui confine à l’intemporel. En cela, ils peuvent renvoyer à des classiques de la culture pop, notamment aux vampires d’Anne Rice, rockstars dramatiques ou créatures accablées par le poids de leurs actions.
L’ensemble de mon travail s’inspire de mythes antiques (l’androgyne, Ganymède, …) et d’histoire de vampires (vous l’avez compris), d’icônes queer d’hier et d’aujourd’hui, du cinéma et de la mode comme moyen de présenter les corps.
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